Comminges Sans Frontieres    


PROJET HAÏTI - Aide Association LEVE KEMPE - Notre Aide 6000.00 €

Comminges sans frontières a aidé financièrement en 2017 l'association Haiti Lévé Kempé et sa présidente Michèle Nondedeu pour la création d'une réserve d'eau. Cette citerne sera indispensable au villageois de Lafitte (jeremie - Grand' Anse). Elle servira surtout à l'agriculture. Et également à la création d'un collectif d'agriculteurs permettant le partage et les échanges des légumes au sein d'une collectivité. Récupération également d'un terrain en friche pour semer et cultiver.

     
      
     






Le 25 avril 2015 le Népal subit l'un des pires tremblements de terre de son histoire... (aide 2016).

Notre aide de 2012 est malheureusement parti en poussière... Mais nous ne voulions pas laisser tomber ce projet. Aussi suite à notre cabaret sans frontières 2016 nous donnons une fois de plus 6000 € à l'association France/Népal. Cet argent va servir à refaire entièrement les serres détruites et à reconstruire la salle de classe des villages de Kalché et Laharé.  

 

   

   



Aide MADAGASCAR à Tanambé Construction d'un bâtiment à usage de cantine (aide 2013).

 

Nous avons aidé l'association Commingeoise "Vivre à Madagascar" qui oeuvre dans la région de Tanambé au centre de Madagascar. Notre aide de 5000 € à permis d'effectuer la construction d'une cantine et l'achat de tables et de chaises. Ce pays est l'un des plus pauvres au monde. Les besoins sont importants dans tous les domaines. 


   
    
    


Soutien de l'association « Comminges Sans Frontières » au Népal (aide 2012).

A quoi ont servi les 5700 € ?

 

Nous avons reçu un chèque de 5000 € et les enfants de la garderie d'Estancarbon, village situé à l'est de Saint-Gaudens, nous ont offert 700 €. Nous les remercions chaleureusement pour ces aides qui ont permis à l'ACFN de mener en collaboration avec les népalais, les actions suivantes :
   * 5 serres horticoles pour les villages de Kalché et Laharé

Les villageois de Kalché et Laharé sont des agriculteurs. Depuis quelques années, ils tentent de produire des légumes pour les vendre hors du village. Une partie de la production de pommes de terre part pour les marchés de Kathmandou. Avec l’approche, toute relative encore de la piste, les camions chargent maintenant quantité de choux, choux-fleurs, navets, carottes etc… L'embryon de route est une bouffée d’oxygène pour ces régions montagneuses enclavées. « L’économie locale » en retirera un certain bénéfice.

 Kumar, le chef de file de ce projet "serres", a déjà expérimenté des plantations particulières telles que les fraises (les japonais ont beaucoup construit de serres à cet effet dans les vallées du sud). Il n’a pas connu le succès escompté. Aujourd’hui, il distille des essences de camphre pour la pharmacopée chinoise. Son esprit d’initiative, curieux et technique, l’incite toujours à chercher plus loin et à expérimenter de nouvelles activités. L’idée des serres, c’est lui !
 Les habitants du hameau de Kalché, ont fait construire dés le mois de mai, trois serres dans le village. Le coût pour l’achat des bâches translucides spéciales, des bambous (viennent de 1000m en dessous dans la vallée) et autres matériaux s'est élevé, avec la construction à 1130€. Au mois d'août poussaient sous ces serres des tomates. Kalché est à 2400 m ! Expérience avancée.
Jean-Pierre Girolami a donc laissé 700€ supplémentaires pour la construction d'une autre serre dans ce village, plus une à Laharé
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 * Un nouveau bâtiment pour l’école de Laharé

Après discussion au sein du conseil d'école, Krishna, notre relais ACFN à Laharé, nous a transmis le souhait que le soutien financier de Comminges Sans Frontières soit affecté à la construction d’un bâtiment supplémentaire : enveloppe fournie 2000€.
En mai, les tailleurs de pierre et maçons s'affairaient sur le chantier.
Quelques semaines plus tard, un magnifique bâtiment de très belle facture, ouvrait ses portes. Nouvelle salle de classe et salle de réunion pour les 12 professeurs que compte maintenant l'école de Laharé.
 A cela, il faut ajouter que les résultats aux examents régionaux sont bons. Plus de 80% des élèves présentés à l'examen de fin de classe 10 sont reçus.
La qualité de l'enseignement est donc là et le nombre croissant d'enfants qui suit le cursus sont les meilleurs résultats que nous puissions espérer.

 

* 2 ordinateurs et 25 costumes d'écoliers à Sautara
Les 700€ offerts par les enfants de l'école d'Estancarbon ont permis l'achat de 2 ordinateurs pour l'école du village de Sautara.
Notre ami Deepak a remis ces machines au directeur de l'école ainsi que 2 cahiers et 1 crayon pour chacun des 200 enfants de l'école.


  Pour aider des familles particulièrement déshéritées, l'association et Comminges Sans Frontières ont acheté 25 costumes d'écolier. Sans ce vêtement obligatoire pas d'accés à l'école : pantalon bleu marine, chemise bleue, cravate, chaussures noires. Cela représente la somme totale de 300€.
Un goûter offert par notre association a ce jour là, réuni petits et grands. Une belle fête à laquelle nous n'avons malheureusement pas pu participer car les routes étaient coupées au sortir de la capitale.


A ce jour nous avons un reliquat de 870€ que nous affecterons, en concertation avec nos amis népalais, sur une opération en 2013.


Le projet "TABAA NINGA", un bus dispensaire pour le Burkina Faso. Notre Aide 6015,00 €.

Un projet magnifiquement "ficelé" par José Marin et Pierre del Tédesco. Le but : Aménager un bus en dispensaire en lui donnant l'autonomie nécessaire et l'acheminer au Burkina Faso.

     

                                                                            Avant                                                                  Après 

Tous les membres de l'association ont immédiatement adhérés à ce projet. Le sérieux des créateurs et l'envie d'une efficacité réelle nous ont fait "craquer" pour le bus dispensaire, avec en plus l'objectif de perdurer dans le temps.  Nous avons donc décidé de donner 50% des bénéfices du cabaret 2011 à ce projet. A titre indicatif le coût de l'aménagement du bus + son acheminement est de 150 000 €. Ce projet est en cours depuis 5 ans et arrive enfin à terme. "Comminges sans frontières" devient donc un partenaire actif à ce projet et s'engage pour la première fois de son existence pour le Burkina Faso.   

 


PROJET TANZANIE

12 juin 2009, la première photo d'une des pompes installéees sur l'ile de pecheurs de Maffia en Tanzanie. Elle sont scellées dans du béton afin d'éviter le vol et permettront aux populations locales d'avoir de l'eau pure toute l'année. Elles sont très résistantes à l'usure et ne demande pas d'entretien.

S'appuyant toujours sur la logistique de Maurel & Prom, Comminges sans frontières a décidé d'intervenir en Tanzanie, un pays qui malheureusement figure dans la liste des pays les plus pauvres du monde (le revenu moyen correspond à 34€).

                                                                               

 

En quoi consiste le projet ?

Comme au Congo, il s'agit de forer et de mettre en place des puits d'eau où ici aussi elle manque cruellement.

L'amélioration et l'approvisionnement, le renforcement des services d'assainissement sont considérés par le gouvernement comme une priorité dans la lutte contre la pauvreté. Seulement 53% de la population a accès à l'eau potable. La situation sur le continent est acceptable mais sur les 3 principales îles où les infrastructures sont nettement moins importantes (peu d'eau, peu d'électricité), la mise en place  de quelques pompes va sensiblement améliorer les conditions de vie au quotidien. Ici, on n'est pas mieux loti qu'au Congo ! On lutte pour sa survie.

L'éducation est aussi une des priorités nationales. Cette année, Comminges sans Frontières installera des pompes pendant que Morel & Prom procèdera à des travaux d'aménagement d'une école, dans la région de Mkuranga. Des actions humanitaires liées, qui permettent de mieux comprendre notre partenariat.

Sur l'emblème de la Tanzanie figure une torche. Symboliquement, elle brille dans le pays et à travers les frontières pour apporter l'espoir.

Nous ne voulons pas seulement vivre d'espoir avec les tanzaniens, mais vivre l'espoir, c'est à dire mettre en mouvement les forces qui nous permettront d'atteindre nos objectifs.

 


 

PROJET CONGO

  En quoi consiste le projet? 

 Il s'agit de forer et mettre en place des puits d'eau dans les villages du Congo en milieu rural près de Pointe Noire.
En effet la situation sanitaire et notamment l'accès à l'eau potable est dramatique au Congo et elle est encore plus difficile en zone rurale où il faut parfois parcourir des dizaines de kilomètres quotidiennement pour se procurer de l'eau. L’idée est née suite à la rencontre de Didier Lacau avec Patrick Garès, responsable local chargé du forage de puits à Pointe-Noire pour la société Maurel & Prom.

Maurel & Prom: un partenaire indispensable ?

Maurel & Prom associe sa logistique à la volonté de l’association Comminges sans Frontières de réaliser cette action humanitaire au Congo - L’association de Didier Lacau a en effet instauré un partenariat avec la société pétrolière qui a financé l’achat d’une foreuse portative et d’un camion pour la transporter. L’implication de la société Maurel & Prom dans ce projet constitue un engagement responsable et citoyen pour celle-ci.   "Une entreprise se doit d'être citoyenne là ou elle est" a déclaré Jean-François Hénin PDG de la société.

Le partenariat avec cette importante société de forage s’avère être une véritable aubaine pour mener à bien un projet d’une telle envergure. La société se charge de creuser les puits et d’y déposer une gaine. Le forage est de 80m et la capacité de stockage d’eau d’un mètre cube. Cela évite à l’association Comminges Sans Frontières des dépenses exorbitantes liées au forage. De plus, Maurel & Prom garantit une assistance gratuite ainsi que le transport de matériel (les pompes en l’occurrence) sécurisé.

L'objectif de l'association Lever des fonds pour acheter des pompes à eau manuelles adaptées aux conditions Congolaises. D'un coût approximatif de 1700€, ces pompes sont capables d'approvisionner en eau jusqu'à 300-400 personnes par jour pendant près de 50 ans!

Réalisations : En 2006, les 5 premières pompes Volanta ont été installées ...

Ce sont les premières d'une longue série on l'espère. Elle permettront à 2500 personnes d'obtenir de l'eau potable  dans leurs villages. Ci-dessous quelques photos de ces villageois qui ne cachent pas leur bonheur. En 2007 notre association, grâce au cabaret sans frontières, obtien le financement de 4 pompes et notre partenaire Maurel et Prom en rajoute 6. Elles seront installées au deuxième semestre 2007. Ce sont en tout 7000 personnes environ qui auront accès à l'eau potable au pied de leurs maisons. Et notre projet continue... Vous comprendrez en quelques photos l'incroyable réussite de notre association

 

VILLAGE DE M'BOUBISSI

            

            


 

VILLAGE DE TOTOSIALA

 

           

        


 

VILLAGE DE TCHICANOU

 

          

      


   

Comment peut-on se développer sans eau ? 

 

Bien que l’eau soit disponible en grande quantité à travers tout le pays, les Congolais ont moins accès à l’eau potable que la moyenne des habitants de l’Afrique Subsaharienne. Moins de la moitié des Congolais ont accès à l’eau potable. Cet accès varie largement entre les centres urbains et les zones rurales. Les taux élevés d’urbanisation ont contribué à concentrer les efforts nationaux et les politiques publiques vers la mise à disposition d’eau potable en zones urbaines. 

Seulement 14% de la population en zone rurale et 59% en zone urbaine ont accès à l’eau potable. De plus, ces zones sont souvent desservies par des sources d’eau contaminées (des sources non captées, des puits ouverts et des réservoirs de collection des eaux de pluies en mauvais état et rarement désinfectés) et sont des causes importantes de maladies gastro-intestinales. 

L’accès en apparence facile à l’eau à cause de la présence de nombreux cours d’eau a permis aux autorités publiques de négliger pendant trop longtemps l’accès à l’eau potable dans ces zones. Dans les zones du sud affectées durement par la guerre et qui ont connu un retour massif de populations déplacées, l’accès à l’eau potable et à des latrines pour ces populations est un défi important. 

Pour réduire de moitié, en 2015, la proportion des personnes vivant sans accès à l’eau potable le Gouvernement devra augmenter de 14% à 40% la couverture en eau saine en milieu rural et périurbain  par L’aménagement de puits équipés de pompes et de sources ; mettre en place d’un système de surveillance de la qualité de l’eau l’assainissement communautaire et la promotion de pratiques d’hygiène saines.

 

Une situation préocupante:

 

Au Congo-Brazzaville, une bonne partie de la population est privée d’accès d’eau potable. Dans les quartiers périphériques de Brazzaville et Pointe-Noire, les ménages ont recours aux points d’eau traditionnels souvent pollués. En zone rurale, les populations s’approvisionnent en eau à partir des cours d’eau, des eaux des pluies stockées dans les fûts, les puits et les sources. La corvée de l’eau occupe une bonne partie du temps de travail de la femme.   

Elles doivent souvent se lever à l’aube pour espérer avoir de l’eau dans les forages privés comme Kenakole, Ebosso, Bouya ou au chantier du Crtv (Centre de radio et télévision en construction) Et ce n’est pas gratuit. Un bidon de 25 litres, qui a d’abord servi au stockage d’huile de cuisine, coûte entre 75 fcfa et 100 fcfa chez ces particuliers. 50 fcfa au chantier de la radio. 

Le spectacle est le même dans les quartiers périphériques sud. Les ménages y ont recours aux traditionnels qui sont souvent pollués. La réalité est bien difficile pour des ménages avec des familles nombreuses. Le besoin en eau potable, ou non, excède les maigres réserves. Comme elles ne disposent pas, chaque jour, d’argent pour payer de l’eau, elles vont puiser leur eau dans des rivières polluées qui propagent le choléra ou dans des sources cachées au pied des montagnes environnantes.

   

Des décès dus à l’eau :

  Les enquêtes menées récemment dans les pays du sud estiment que 80% des maladies et plus de un tiers de décès sont dus à l’eau contaminée.

 

 


 

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